GRH Charbonnières les Bains
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GRH Charbonnières les Bains

Association

Square des Erables, 69260 Charbonnières-Les-Bains
Rhône
Auvergne-Rhône-Alpes
France
site internet
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GRH Charbonnières les Bains

Association

Charbonnières-les-Bains d'Hier à Aujourd'hui / Groupe de Recherches Historiques a été créé en 2001- Sa mission première est d'effectuer des recherches sur l'histoire de la commune en particulier sur son passé thermal depuis la découverte de la Source Marsonnat en 1774.  Ses autres objectifs sont  la publication de ses recherches, l'organisation d'expositions et conférences, l'acquisition et la préservation des indices historiques, la conduite de sorties pour ses membres, l'accompagnement des groupes au circuit historique de la commune,  les échanges avec d'autres associations historiques voisines.

Une section  Entraide Généalogie a été crée pour ses membres.

Pour ses travaux elle a été récompensée par La Marianne d'Or de la République et  la Fondation Aurhalpin. 

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Articles, balades, visites guidées, recherches, publications

  • Exposition du 3 au 9 octobre Salle Entr’Vues à Charbonnières-les-bains. Le GRH de Charbonnières-les Bains, a retrouvé de nombreux lieux de restauration de l'époque du thermalisme triomphant. Charbonnières-les-Bains fut longtemps, à côté des cures d'eau ferrugineuse, un rendez-vous du Bien Manger, du Casino de Charbonnières à la guinguette du Bois de l’Étoile.

  • visite commentée du Cimetière de Charbonnières-les-Bains

  • Au cours des années 1960, la marque TEPAZZ connaît un succès considérable auprès des jeunes adolescents et des yéyés avec ses électrophones. La conférence retrace l'immense succès, une épopée depuis les premiers électrophones portatifs "Présence" et "Oscar" jusqu'à la lutte pour l'emploi sur Charbonnières-les-Bains et Craponne.

  • Au cours du XIX et du XX siècle, le vieux bourg de Charbonnières-les-Bains s'est doté de nouveaux bâtiments publics : la mairie, le monument aux morts, une école élémentaire...

  • Suissesse de naissance, Ruth Richard a adopté Charbonnières les Bains il y a 56 ans. Nous lui devons de nombreuses réalisations en aluminium poli ou en bronze patiné exposées et installées en France et à l'étranger. Proche de nous, la Gendarmerie de Tassin- Charbonnières détient dans sa cour une pièce monumentale représentant des dos de femmes, son sujet de prédilection. Dans le cadre d'un mécénat d'entreprise une autre sculpture imposante, l'Homme, a été installée dans une partie privée, comme un totem, au rond-point entre Tassin et Charbonnières les Bains, route de Paris. Ce film, réalisé en 2012, par Ruth Richard lui donne l'occasion de démontrer sa passion pour cet art.

  • On a trouvé la trace de legs en faveur d’une église au 13ème siècle à Charbonnières. Elle semble être vouée depuis sa création à Notre-Dame de l’Assomption, Saint-Roch en étant le patron d’une des chapelles intérieures. Elle connaitra l’honneur de la visite du pape Pie VII en route pour le sacre de Napoléon 1°. Une nouvelle église est construite en 1841.

  • A l’origine Charbonnières était une paroisse rattachée à Tassin. La découverte en 1778, par l’abbé Louis Rougeat de Marsonnat, d’une source ferrugineuse à la lisière du domaine du Comte de Lacroix-Laval amena des milliers de curistes qui empruntaient le chemin des Eaux (actuelles rues Benoit Bennier et Alexis Brevet).

  • « Ma sensibilité artistique m’est venue de mon père tailleur de pierre dans la région de Villebois (Isère) qui m’a appris le coup de main et l’amour de la pierre… » Médaillé de la Société Lyonnaise des Beaux Arts à 17 ans, cet artiste charbonnois précoce a été toute sa vie un artisan dans le statuaire, l’animalier, et surtout les bustes. De nombreuses tombes de Charbonnières-les-Bains, Tassin et Ecully portent sa signature. A Charbonnières,

  • En face de vous, on découvre le Parc des Thermes, et à droite de celui-ci, le Pavillon de la Rotonde, le Casino. Le succès de la source de Charbonnières, les curistes et les promeneurs lyonnais venaient à partir de 1876 par le train de la gare de Lyon Saint Paul et par le trolleybus Nithard (1903-1906).  Pour distraire les curistes et les visiteurs, la construction d’un casino s’imposa.

  • Le 30 septembre 1778 l’Abbé Louis Rougeat de Marsonnat, curé de Tassin et de Charbonnières, découvrit une source qui fera la renommée du village. L’épizootie déclarée en 1744 occasionnait des pertes considérables de cheptel bovin dans plusieurs provinces de France, tandis que dans notre commune les bêtes étaient épargnées. La légende de Cadichon trouva là toute sa légitimité. C’est ainsi que naquit le fabuleux destin de la petite commune de Charbonnières-les-Bains.

  • Le 19ème siècle fut le siècle du thermalisme pour Charbonnières-les-Bains : pendant cinq mois de l’année, de mai à septembre, temps de la « saison des eaux », la commune connaissait une affluence record. Charbonnières-les-Bains, malgré l’étroitesse de son territoire, (410 ha) deux lignes de chemin de fer : Lyon-Paray le Monial avec une halte au quartier des Flachères et la ligne Lyon-Saint Paul- L’Arbresle remarquable par l’emblématique gare devant vous,

  • Major Général Claude Martin (1735-1800) : Propriétaire du château Barthélemy et des terrains « les Tortarières » et « le Barthélemy »,  les écoles La Martinière de Calcutta, Lucknow (Inde) et Lyon lui doivent leur existence grâce à la générosité de ses legs. Claude Martin, parti de Lyon en 1751 à l’âge de 16 ans, comme simple soldat de la Compagnie des Indes, il meurt le 13 septembre 1800, avec le grade de Major Général de l’East India, en laissant une immense fortune.

  • « Au lieu-dit Charbonnières, vivait un pauvre bûcheron dont la fille se prénommait Lison. Ce bûcheron avait un âne appelé Cadichon qui rendait de bons services puisqu’il était utilisé pour porter à la ville le charbon de bois confectionné seul moyen d’existence du foyer. Cadichon était gros et gras mais très alerte : Lison l’aimait beaucoup et il le lui rendait bien.

  • A cet emplacement s’étendait un champ de courses d’ânes d’abord dénommé « hippodrome » puis « asinodrome ». C’est en 1886, le Docteur Girard étant maire (1886-1919), que la « Société des courses de Charbonnières » a été créée, son but étant de « contribuer à l’amélioration de la race et à l’élevage des ânes » (article1). C’est ainsi qu’un pari ...

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